Antecedentes:
Cette synthèse historique, ou mieux conte de chronique, couvre en termes généraux la période entre 1948 et 2013, ce sera peut-être une nouveauté pour ceux qui ne sont pas italiens, et aussi aujourd'hui sont informés par des personnes qui accordent très peu d'attention à la vérité, peut-être ça vaut même pour certains italiens distraits ou désintéressés.
Pour l'instant, cependant, il ne reste plus aucun doute: à l'étranger mais aussi en Italie, il y a des gens (y compris les inévitables traîtres aux intérêts nationaux) qui ont tiré des bénéfices importants et des gains soudains importants des problèmes italiens, qui certainement n'aiment pas sentir la vérité.
Presque tous les citoyens italiens, intéressés ou non, ont payé pour leurs actes et leurs decisions. J'espère que, pour exprimer mes idées, quelqu'un ne va pas me faire payer cher. Chez nous la liberté d'expression et d'opinion put être dangereuse, quand on touche des arguments 'sensibles'.
Je souhaite de vous donner une image schématique des événements tels que je les ai vus, donc de mon point de vue c'est une chronique, oui synthétique, mais fiable.
De 1957 à aujourd'hui, surtout depuis que j'ai fréquenté le lycée, j'ai toujours été intéressé par la politique de mon pays. Et peut-être même avant cela, j'ai été attentif aux faits de ma famille, tout en écoutant et j'ai parfois pu comprendre les conversations de mes parents et de mes grands-parents.
Je crois que quiconque a consacré sa vie et travaillé honnêtement et héroïquement pour le bien de son pays est capable d'exprimer des jugements historiques.
La famille de mon père et de ma mère n'étaient pas exactement les familles classiques de la classe moyenne.
Mon grand-père paternel puisqu'après avoir obtenu son diplôme d'ingénieur à Bologne en 1912, il avait remporté un concours public pour les colonies et s'était rendu en Libye où il avait participé à la construction du port de Tripoli.
Mon père y est né en 1916. Ensuite, la famille était partie en Somalie, à Mogadiscio, où ils sont revenus en 1932, arrivant à Rome.
En tant que cadre estimé de l'État, mon grand-père a ensuite occupé des postes de responsabilité dans toute l'Italie, à Rome, en Sicile, en Sardaigne, en Vénétie et au Frioul et à nouveau à Rome, où il a terminé sa carrière en tant que surintendant fournisseur des travaux publics pour l'Ombrie et le Latium. Alors il a reçu pour le Président de la République Luigi Einaudi une série de distinctions honorifiques.
Quand je suis né, mon grand-père était administrateur à Palerme, en Sicile. Laissez-moi honorer l'histoire des aventures de papa, qui sont trop nombreuses pour être racontées ici. Je dirai juste qu'il était officier de l'Armée de l'air.
Lorsque mon père a été fait prisonnier par les envahisseurs américains et transféré en Afrique du Nord, j'étais en Sicile avec mon grand-père Lino, ma grand-mère Emilia et ma mère Maríe Josephine.
Je ne raconte même pas l'histoire de mon grand-père maternel, Prospero Del Din, officier de carrière dans l'armée alpine, et de sa famille.
Je dis juste que pendant la Première Guerre mondiale, il a été promu sur le champ de bataille, en tant que plus jeune capitaine de l'armée royale, il a remporté une médaille d'argent et deux de bronze, ainsi que de nombreuses autres décorations obtenues au cours de ses quatre décennies de carrière.
Il a eté aussi le commandant du piquet de l'armée à la papauté de Pie XII.
En plus de la Première Guerre mondiale, il a participé à la conquête de l'Éthiopie avec le maréchal Graziani, et après en la Seconde Guerre mondiale.
Il a été fait prisonnier par les Britanniques en Grèce, alors qu'il se remettait à l'hôpital militaire d'une attaque rénale, une nephritis qu'il avait contractée lors de la campagne d'Afrique, et a été envoyé dans un camp de prisonniers dans l'Himalaya.
Son fils Renato, mon oncle, lieutenant des troupes alpines mort en bataille, remporta une médaille d'or de la vaillance militaire.
Par conséquent, je crois que les opinions exprimées par tous mes parents aillent un certain poids, plus que celles de certaines personnes, que ces hoses n'ont pas fait o connu, ou pas touchés.
Mais revenons à une époque plus récente: en plus d'écouter les discours de mes grands-parents, je m'amusai à regarder des forums politiques à la télévision depuis le milieu des années 1950.
J'ai admiré l'habileté et l'hypocresie des discours et des réponses très fourbes mais évasifs et incohérents par L'honorable communiste Palmiro Togliatti, dit "le meilleur par les communistes.
Bien que très jeune, j'ai lu toujours des livres, des articles et des histoires sur les événements et l'histoire de mon pays et du monde; grâce à la formation de la famille, aux études classiques et à mon intérêt pour la lecture, je pense avoir suffisamment appris pour pouvoir parler sans me contredire, au moins dans les événements qui ont eu lieu dans ces moments que je considère importants, et dont je la résume brièvement par de courtes lignes des principaux événements.
Pour avoir une vision correcte des événements, la connaissance de ce qui s'est réellement passé est essentielle, pour essayer de connaître la vérité sur ce qui se passe aujourd'hui.
Essayer de voir à travers la grande poussière aveuglante soulevée par les médias. Les quatre périodes principales que j'examine sont :
A la fin de la guerre, le pays dévasté par la défaite désastreuse et brisé d'esprit, mortifié par les meurtres et les effusions de sang italien qui ont eu lieu par les communistes également après la fin de la guerre, a été menacé par le communisme national, qui malgré les accords de Yalta et les ordres de Joseph Staline, voulait mettre l'Italie dans l'orbite de Moscou. J'étais là et j'ai pu voir cette séquence d'événements :
Le parti DC, cependant, a peu à peu perdu sa position dominante. Les révoltes des années 1960 organisées par le Parti Communiste Sovietique Russe et la chute du gouvernement de l'Honorable Président Fernando Tambroni sont mémorables. Le gouvernement est tombé sous la pression de la VIOLENCE COMMUNISTE. Ça était le point de rupture et de tournant.
Pour la plupart faibles et parfois même un peu lâches, les démocrates-chrétiens sans réel besoin après 1960 ont rejoint plusieurs partis politiques mineurs, dont le Parti socialiste italien, conduisant à une coalition de centre-gauche. Les problèmes italiens commencent d'ici.
Après la « victoire du peuple et de l'unité antifasciste », le miracle économique italien a été progressivement annulé par l'énorme dette publique improductif et condescendant.
Le progrès économique avait commencé après la guerre grâce au "Plan Marshall", mais après les années 1970, il s'est progressivement détérioré en raison de la combinaison des politiques de dépenses, du favoritisme et de la corruption surtout au sein du Parti socialiste italien.
Les événements internationaux et la hausse des prix du pétrole ont contribué à aggraver la situation.
Mais alors le parti communiste n'avait pourtant pas été « expulsé » de rien, et avait surtout un mobopole, la grande facilité pour les rapports dew commerce avec l'URSS, à la fois pour son contrôle sur le commerce et pour recevoir de l'argent - voir l'affaire Mitrokhine. Donc ils avaient de grands avantages d'argent et de clients pour consolider leur pouvoir commercial dans les zones dites rouges (principalement Emilie-Romagne, Toscane, Ombrie, Ligurie).
Depuis 1970, la dette nationale a augmenté de façon spectaculaire, atteignant 100 % du PIB. En quelques années, les dépenses de l'apparat d'Etat ont énormément augmenté les dépenses publiques. A cause du fait des politiques de parrainage des partis politiques et de la bêtise des decisions politiques.
En 1990, la dette était encore inférieure à 100 % du PIB, mais comme vous pouvez le voir ici dans le graphique, elle a considérablement augmenté au cours des années suivantes.
Évolution du PIB (rouge) et de la dette publique (bleu) de 1990 à 2013 en milliards d'euros
Commentaire: La dette a été augmentée jusqu'en 1994 par les gouvernements de gauche. Ensuite avec les gouvernements Berlusconov a été constaté, jusqu'au début de la crise économique que le PIB a également augmenté presque atteignant l'équilibre.
Si vous regardez les dates de début et de fin des gouvernements de Berlusconi et celles de la gauche, vous pouvez lire un graphique simple et vous vous rendrez compte que la dette en bleu augmente peut-être davantage e le PIB tombe, lorsque les gouvernements de gauche sont au pouvoir.
Après la chute du gouvernement de M. Berlusconi, la dette recommence à augmenter. L'augmentation de la dette - en bleu - ne s'arrête que si la collecte des impôts est augmentée, puisque personne n'est en mesure de contrer l'inefficacité et les intérêts de la bureaucratie d'État.
Vous vous rendrez également compte qu'il aurait été parfaitement possible de se passer de l'euro, du moins avant le cyclone de la justice de 1992 et les derniers gouvernements de gauche qui ont suivi.
Ce n'est que dans le journal "La Repubblica", le grand journal national appartenant à M. De Benedetti, qui a remplacé "L'Unità" dans le cœur des fidèles, qu'ils sont convaincus que personne, surtout les fidèles, ne sait lire et interprèter les chiffres et les graphiques, et comme ça on peut fournir les versions mensongères habituelles.
Les effets de l'intrigue internationale sont vus peu de temps avant la chasse à Berlusconi. Les Allemands étaient très inquiets parce que le PIB augmentait et que la prévision d'équilibre budgétaire aurait été bientôt réalisée, menaçant l'Allemagne, avec Berlusconi restant au gouvernement, il fallait donc prendre des contre-mesures.
Depuis les premières années de la République italienne, les communistes du PCI, n'étant pas directement impliqués dans le gouvernement national, ont pu profiter de leur position pour gagner les centres névralgiques du pays (pour leurs drogués le communisme est comme une religion).
Ils occupaient donc une bonne partie de la magistrature, de la culture, de l'université, et aussi presque tous les médias et la presse. Malheureusement, alors que les communistes travaillaient politiquement pour prendre tout l'espace disponible, les démocrates-chrétiens et autres ne pensaient qu'au travail, et aussi surtout à cultiver leurs clients.
Le Parti communiste italien (PCI), n'étant pas impliqué dans le gouvernement national, a eu l'occasion de suivre la politique de conquête des centres nerveux du pays avec ses fidèles. En 1992, les communistes « fidèles » étaient présents de manière massive dans la magistrature, dans la culture et à l'université, et dans presque tous les médias et la presse; le Parti contrôlait également de nombreuses banques et des activités économiques étendues très pertinentes dans tout le pays. Pendant ce temps, les démocrates-chrétiens et les autres ont continué à faire semblant de l'ignorer, et alors ils ont creusé leur propre tombe.
En fait, dans certaines périodes marquées par la lâcheté, ils ont aussi pensé à faire le soi-disant « compromis historique » avec leurs futurs bourreaux.
Les communistes ont honte (PCI = Partito Comunista Italiano) et changent le nom du Parti .
Le communisme s'est senti officiellement mort avec la chute du mur de Berlin, et immédiatement après l'URSS, chez le PCI (Parti communiste italien) on a bien pensé de changer le nom.
Cependant les communistes, nouvellement convertis à la démocratie, pensaient que le moment était venu de récolter ce qu'ils avaient semé pendant les décennies de la guerre froide. C'est pourquoi le Pouvoir Judiciaire, dont une partie s'est déchaînée pour détruire les ennemis politiques, lui a rapidement apporté son soutien :
(#) Piero Dossetti était un prêtre catholique qui a fait une école *philosophique de paupérisme et des idées similaires aux communistes, dont M. Prodi était un érudit.
De 1994 à 2011, il y a une période de "faire et défaire". Mr. Silvio Berlusconi a remporté les élections de 1994 malgré l'appareil de contrôle électoral - celui des anciens communistes - qui produit miraculeusement des centaines de milliers sinon des millions de votes nuls.
Les ex-communistes planifiaient la vengeance. Au cours d'un total de neuf ans de gouvernement, interrompu à deux reprises par des gouvernements de gauche, Berlusconi a tenté d'obtenir des mesures importantes pour moderniser le pays, mais n'a pas atteint les objectifs.
En plus d'être entravé par tous les moyens par les ennemis, par les milieux de gauche, et par le capitalisme complice qui les soutient, qui lui ont réveillé contre envies et haines sauvages, et d'être freiné par des alliés déloyaux et traîtres, quand la gauche a pris le pouvoir par tromperie (2 fois) pour le premier se vouaient à se débarrasser de ses lois.
Peu de gens se souviennent aujourd'hui que la gauche avait convaincu les crédules électeurs italiens de rejeter les réformes constitutionnelles (référendum de juin 2006), qui visaient également à éliminer le Sénat, à réduire le nombre énorme de députés, à abolir les provinces et d'autres mesures importantes, qui auraient ont considérablement réduit le coût de la machine d'état.
Mais aujourd'hui, ces propositions reviennent à la mode. Par ailleurs, le Premier ministre Romano Prodi (a ces temps président de la Commission européenne) avait adopté l'euro sous le diktat de l'Allemagne, sous des conditions lourdes et inégales. Aujourd'hui, tout le monde dit que la monnaie commune nous a sauvés des catastrophes de la speculation mondiale: je ne pense pas ça, mais peut-être, porque la finance internationale exploite et mange les faibles, ainsi comme le font les vautours avec les charognes d'animaux morts ou mourants. Et l'Italie était mourante et faible en raison de la domination de la politique de gauche qui durait depuis des décennies.
Les Allemands, avec l'introduction de la nouvelle monnaie unique, ont grandement profité de la situation et ont fait en sorte que d'autres aient payé pour leur réunification, mais pour eux ce n'était pas suffisant. Ils voulaient plus.
En Italie, il n'y a pas de politiciens opposants à la gauche, à quelque niveau que ce soit, qui puissent travailler en paix. Comme par le passé depuis 1992, ils seront frappés d'enquêtes ou de poursuites, déshonorés comme corrompus et leur vie ruinée.
Après des années de poursuites interminables, quand son innocence sera prouvée, personne ne le saura.
Des exemples récents sont Mr. Gianni Alemanno ex maire de Rome et Mr. Francesco Storace, celui ci agressé et accusé de fraude pour lui interdire de se presenter a l'élection à la présidence de la région du Latium, ou le directeur du journal télévisé M. Minzolini, innocent, mais accusé de détournement de fonds pour l'expulser de la télévision publique.
Après plusieurs années a sorti du procès qu'ils étaient tous innocents. Mais chaque jour un nouveau coupable probable sort du chapeau magique des procureurs gauchistes!
Entre-temps, ces suspects habituels avaient déjà été effacés de la politique, définitivement, mais il semble que la persécution contre ceux qui s'opposent à la domination de la gauche politique, et donc accusés d'être le seul réceptacle de la corruption, n'ait pas encore cessé.
La chasse impitoyable est toujours ouverte! La célèbre chasse aux sorcières du sénateur républicain McCarthy aux États-Unis, comparée à cela, est presque une blague.