">
  TÍTLE EN ITALIen: Un partigiano della Osoppo al confine orientale
 de la serie de livres: 'Lotta Politica e Resistenza'-Ed Del Bianco Jan. 1989

Prologue -  La Famille de Renato Del Din -  Mort de Renato -  Le Général Badoglio -  Nettoyer des jugements partisans
  Histoire de la brigade partisane Osoppo  - Massacre dans la cabane Porzus - Colonel Prospero Del Din  - La libération Bibliographie










Prologue

J'écris cet article à la mémoire de mon oncle Renato, frère de ma mère Maria Giuseppina, dès qu'il a quitté l'Académie militaire de Modène avec le grade de sous-lieutenant, et pour se conformer au serment prêté au roi est entré en clandestinité et ensuite s'est enrôlé dans la brigade partisane monarchiste Osoppo.
On peut le voir ici en foto, et je parle de lui Sottotenente Renato DEl Din
 Sous-lieutenant Renato Del Din MOMV 
même si je ne l'ai jamais vu en personne, car au moment de sa mort au combat, j'etais un enfant de presque deux ans et je vivais en Sicile, à Palerme, avec ma mère et mes grands-parents paternels, alors que mon père était encore prisonnier des Américains en Afrique du Nord.
Mon grand-père, Prospero Del Din, officier général retraité de l'infanterie alpine m'a emmené a voir sa tombe en 1960.
Je crois me rappeler qui est a partir de l'entrée du vieux petit cemetier de Tolmezzo, au sommet d'une colline, le premier tombeau a gauche de l'avant-dernière rangée.
Mon oncle Renato est enterré la en haut.

On arrivait a l'entrée du cimetière par un chemin en montée pavé en macadam, c'est-à-dire en pierre concassée comprimée et gravier fin, typiques du lieu à cette époque, qui grinçaient sous les pieds,.

Je n'y suis pas allé depuis des décennies, la dernière fois c'était il y a près d'un demi-siècle. Cependant, je me souviens du bruit du silence dans l'écho du vent entre les montagnes environnantes, pendant que mon grand-père faisait le signe de la croix et - après avoir dit "bonjour Renato!" - tapotait avec deux doigts sur la pierre tombale, où il y avait ces mots à moitié effacés par le temps:     
 
Sottotenente Renato del Din, Medaglia d'oro al valor militare.

(Sous-lieutenant Renato del Din, médaille d'or de la vaillance militaire)

En voyant l'expression silencieuse de mon grand-père regardant la pierre tombale avec les yeux mouillés, une boule s'est formée dans ma gorge et je pouvais à peine contenir les larmes.
Ce fut un moment d'une telle intensité émotionnelle a que je ne suis jamais revenu en aucune circonstance, même quand soudainement dans les bras de ma femme, en 2008, mon fils Alessandro, le plus jeune de mes enfants (32 ans) est mort d'athérosclérose des coronaires.

Le même jour, mon grand-père m'a emmené avec lui pour rencontrer les religieuses de l'orphelinat au nom de son fils, qu'il parrainait et auquel il a contribué avec son argent, et étant également conseiller du Parti monarchique national à Udine.

À Tolmezzo, il y a aussi la station d'infanterie alpine intitulée 'Renato Del Din'


 

2










La Famille de Renato Del Din

Le jeune lieutenant Prospero Del Din du bataillon alpin 'Monteberico' a rencontré sa future épouse Inés lors d'une fête, et ce fut le coup de foudre. Ils ont immédiatement décidé de se fiancer.
Mon grand père Prospero Renato Del Din
 Renato Del Din y su familia  
devint le plus jeune capitaine de l'armée italienne. Blessé plusieurs fois pendant la Première Guerre mondiale, il etait promu capitaine sur le terrain, décoré d'une médaille d'argent et il a gagné plus tard d'autres décorations, médailles de bronze et croix de guerre.
Pendant un congé de convalescence, après une blessure au combat, mon grand-père et ma grand-mère se sont mariés, donnant naissance à la famille.

Ma grand-mère Ines Battilana, fille du médecin en charge de la santé publique à Recoaro (une ville près de Vicenza), a ensuite abandonné les études universitaires que son père avait prévues pour elle, pour consacrer toute sa vie à son mari et à sa famille.
Elle s'est occupèe aussi de tous les neveux, particulièrement chaque année quand mon frère et moi on avait jusque a 15 ans, elle nous prenait un mois ou deux pour passer les vacances à la montagne. Les enfants de ma tante Paola ont également été éduqués et protégés par elle.
Mon grand-père est décédé en 1974 des séquelles d'une néphrite qu'il a contractée en Ethiopie en 1936, tandis que ma grand-mère est décédée en 1982.

Sur la photo de gauche, la «petite» Paola, ma tante, née en 1923, elle aussi decorée MOMV, ma mère Maria Giuseppina, née en 1917, debout à côté de son grand-père. A droite sur la photo, Renato, né en 1922.
A sa mort, il n'avait que 22 ans.

Je veux raconter deux agréables épisodes de montagne qui ont arrivé, a mio, ma grand-mère et mon grand-père:
Une fois qu'on marchait dans les hautes montagnes, dans une vallée appelée «Val Visdende», nous avons rencontré une longue colonne de infanterie alpine de jeunes abrités qui gravissaient en file indienne le mont Peralba vers la frontière autrichienne. J'avais 11 ans à l'époque, je me souviens.
Grand-mère: « Linetto » - elle a suggéré- « viva gli Alpini! ».
Je m'écriai docilement: « viva gli Alpini! » (Vive l'infanterie alpine!).
Alors j'ai pris cette sage réponse d'un grand garçon haletant: «Eh, bocia, ti andarà anca ti soto la naja!» ce qui signifie en dialecte vénitien: "Hé, petit, enfin toi aussi tu seras forcé d'être soldat!"

Je me souviens que même mon grand-père Prospero, quand il était encore en service, m'emmenait souvent avec lui dans les montagnes et aussi sur les glaciers alpins.
Quand j'étais enfant, il m'emmenait avec lui aussi pour une visite d'inspection des camps de troupes alpines.
Aujourd'hui je ne sais pas, mais a ce temps les troupes étaient équipées de tout ce dont elles avaient besoin pour être autonomes, et ont pratiqué le démontage et le remontage des champs, avant de se déplacer et changer de place.
Après avoir emménagé, je rappelle l'atterrissage des essaims de corbeaux qui nettoyaient soigneusement l'endroit.

Mes grands-parents maternels étaient les meilleurs du monde, mais aussi mes grands-parents paternels ne l'étaient pas moins


3




 




Renato meurt au combat

Je raconte l'histoire comme mon grand-père Prospero l'a dite une fois lorsqu'il m'a emmené à Tolmezzo et m'a montré les lieux de l'événement, même si des autres m'ont dit des choses légèrement différentes.

En 1960, mon grand-père m'a emmené sur la place où mon oncle avait été blessé, puis dans la rue où ils l'avaient achevé.
Mon oncle, sous-lieutenant nouvellement nommé, était un jeune homme inexpérimenté de 22 ans, très religieux et alimenté par de très nobles idéaux, et pur - m'ont-ils dit - comme aujourd'hui la plupart des gens ne l'imaginent peut-être pas.
Il était courageux et audacieux, comme on dit, la poire ne tombe jamais loin de son arbre, et venant de l'académie militaire, il avait une très haute conception de l'honneur.
Il ne pouvait même pas imaginer que ses compagnons pouvaient paniquer face au feu ennemi, le prendre dans la peur et s'enfuir comme des lièvres pour sauver sa peau.
Malheureusement, souvent l'inexpérience et l'ingénuité se paient cher.

Mon grand-père m'a emmené a une place pour voir un bâtiment où il m'a dit qu'il y avait autrefois une caserme militaire, puis il a indiqué un endroit voisin où des soldats des milices de la République de Salò stationnaient pour examiner les documents de ceux qui passaient à travers la ville.
Il m'a dit que mon oncle Renato avait courageusement devancé tous les autres camarades, convaincu qu'ils le suivraient, mais dès que la fusillade a commencé, ses camarades ont paniqué et ont fui comme devant le diable.
Même s'ils avaient pû réussir à vaincre les quelques miliciens, ils ont fui et abandonné leur chef face aux tirs des ennemis.
Renato se retrouva seul devant le feu. Terminé les munitions, malgré une balle dans l'épaule près de la nuque et perdant beaucoup de sang, il a réussi à tourner le coin et à se réfugier en frappant une porte en bois.

Mais même s'il y avait quelqu'un à l'intérieur qui aurait pu le laisser entrer et le cacher, mon grand-père m'a dit qui ils étaient et m'a donné son prénom et nom, personne n'a pas ouvert pour le faire entrer.

Un des soldats arrivés, après lui avoir tiré, lui a fracassé le crâne avec la crosse de son fusil en s'écriant «porco d'un badogliano!» C'est-à-dire: "Cochon de Badoglien!"

Renato Del Din 1922-1944
M.O.V.M. S. Renato Del Din

Mon oncle Renato n'était pas ce que son assassin disait, mais comme beaucoup d'autres, il n'était autre que fidèle au serment fait à Vittorio Emanuele III, un roi faible et inepte pour accomplir sa tâche.
Son père le roi Umberto I, lui-même, qui avait déjà échappé à deux attaques menées par les anarchistes Giovanni Passannante et Pietro Acciarito, le savait bien et avait prévu de nommer un noble de la maison Savoia Aosta comme son héritier.
Mais malheureusement un anarchiste fou, nommé Gaetano Bresci, un assassin venu spécifiquement des États-Unis l'a tué, changeant ainsi l'histoire de l'Italie et d'Europe aussi et provoquant finalement la fin de la millénaire Maison de Savoie.
En fait, je crois que le roi Umberto I, qui etait un monarque très énergique, après les excès des émeutes dans tout le pays, qui se sont produites à cause des communistes italiens après la révolution russe, aurait déclaré l'état d'urgence.
Par la force de l'armée, je suis sûr que cela aurait mis un terme à la violence communiste et à la opposée, en rétablissant l'ordre et en maintenant le régime parlementaire démocratique..

À l'aube, alors que le corps de Renato était sur le point d'être emporté par les Allemands, les femmes de la ville se pressaient sur la place s'opposant aux soldats SS et, par acclamation populaire lui donnèrent les funérailles et l'enterrèrent dans le cimetière local dans une tombe sans un nom, parce que personne ne savait qui etait il.

Mon grand-père Prospero a dû le reconnaître à son retour de la captivité dans le champ himalayen anglais des prisonniers de guerre.
Il m'a dit qu'il l'a reconnu par ses cheveux, car sa tête était écrasée. Il n'y avait que le crâne, ses incomparables cheveux blonds et ses os parmi les restes de l'uniforme.

Ma grand-mère, par contre, a été emmenée de chez elle et emprisonnée à Udine pour leur faire dire où était son fils.
En prison parmi voleurs et putaines, elle était sur le point d'être envoyée dans un camp de concentration en Allemagne, mais juste à temps, a été sauvée par des amis de la famille, qui ont soudoyé les gardes allemands avec des objets en argent et l'ont faite sortir.
On m'a dit qu'il y avait aussi un joli ensemble de couverts en argent pour 24 personnes.

Hier, je parle dans les années 90, ce lieu de la mort dans Tolmezzo est complètement différent de la première fois que je l'ai vu dans les années 1950, le portail en bois et le vieux mur ont disparu, mais il y a une arche et une plaque commémorative.

On a dedié également a la memoire de mon oncle Renato Del Din le quartier général des troupes alpines à Tolmezzo et une petite place de la ville d'Udine, derrière l'église de Santa Maria Delle Grazie.


 

4










GÉNÉRAL PIETRO BADOGLIO

Quant au général Pietro Badoglio:

En bref, nous devons la guerre civile italienne au général Pietro Badoglio, avec les massacres perfides commis par les partisans communistes et les représailles allemandes; tout etait voulu par les communistes pour verser le plus de sang possible et susciter la haine de la population civile contre les Allemands et les fascistes et parmi les citoyens eux-mêmes.
Nous devons aussi à Pietro Badoglio un gran nombre des problèmes actuels, dérivés de la présence des communistes qui ont émergé à nouveau après le 25 juillet 1943, en raison de l'effondrement de l'État, et jusqu'à aujourd'hui principalement à la suite de la forte infiltration de ses fidèles en chaque institution publique, qui a duré plus d'un demi-siècle.

De plus, en raison de la constitution inadéquate et désormais obsolète de la République Italienne, la corruption et les dépenses publiques se sont énormément multipliées grace a la création de vingt (!) "Régions" avec la multiplication des centres de dépenses et des postes de pouvoir, et une chute ulterieure du sentiment national, qui était déjà assez rare d'auparavant.
Le même sentiment national s'est transformé aujourd'hui pour beaucoup de gens en mépris pour l'Italie unie, et pousse a l'usage de centains de dialectes différents, et aussi en haine stupide pour notre millénaire et magnifique capitale, la Rome éternelle, qui a bâti l'Italie e l'Europe.


Noter
:
Dans toutes les régions du monde, typique des communistes et des politiques DEM c'est a dire ceux «politiquement correctes», la déformation ou le renversement de la vérité se produit presque toujours inévitable.

 


5










Liberons le champ des préjudices partisans.

J'affirme que bien qu'il ne soit pas un homme de gauche, l'auteur exprime son mépris pour le régime fasciste.
Dans ces territoires frontaliers, en raison de la rhétorique bombastique et fortement nationaliste, de forts contrastes sont apparus entre les personnes d'etnie italienne et les autres.
Cependant, bien que les habitants de ces régions ne soient pas aussi individualistes que le reste des habitants de notre pays, ils sont toujours attachés à leur petit clocher; ici, d'ailleurs, certains croient aussi qu'ils sont supérieurs, plus sérieux et en compétence, et les compatriotes d'autres régions ne sont souvent pas très appréciés de la majorité.


La couverture du livre

Pour l'auteur mentionné dans le titre, au cours des vingt années entre les deux guerres, le régime fasciste n'a fait que des choses négatives et inutiles quand même nuisible.
Il suggère que peux de personnes en Italie le tolerait. Bref, il dit que les Italiens étaient tous une bande de moutons(!).

Puisqu'il parle de la Résistance, il évite de dire que le pays a traversé la crise économique del año 29, venue comme d'habitude des États-Unis, et ne mentionne même pas les "injustes sanctions" après la guerre en Ethiopie de l'année 1936, mposées par la Société des Nations, forçant la nation à l'autarcie.

Le sujet étant limité aux régions du nord-est, l'auteur ne dit pas que les territoires du monde sous administration italienne ont atteint l'extension de 5 millions de kilomètres carrés, ni ne parle des réalisations sociales du régime arrivées jusqu'à la 21e siècle, comme l'INPS (Institut national de la sécurité sociale) et les nombreux associations de sport, des arts et métiers, des industries et les corporations professionnelles qui avaient autrefois la qualification de «fasciste» en leur nom.
Et toy ça était exporté vers tous les territoires administrés par l'Italie.
Y compris les syndicats ouvriers qui, en Italie, ont hérité et partagé les actifs et le siège des anciens syndicats ouvriers fascistes. Mentionnons également que pour la première fois au monde, la semaine de travail de 40 heures avait été prescrite.
L'auteur Primo Cresta ne se souvient pas que si les activités sportives en Italie sont aujourd'hui assez organisées et capables de concourir au niveau mondial, c'est précisément parce qu'il y avait un régime fasciste qui les a construites avec ses «singeries».

Quant au «grotesque» du régime, si j'avais été assez vieux, j'aurais participé à contrecœur et obligé, car je suis assez paresseux.
Ils m'auraient dérangé en me faisant me lever trop tôt le samedi matin, et certaines hypocrisies manifestes peut-être, même sans peut-être, m'auraient aussi dérangé.

Cependant, je ne me souviens pas d'un sentiment d'inconfort en 1968 lorsque, lors de la cérémonie d'assermentation à l'académie des officiers aéronautiques, ils ont joué la "Chanson du Piave", et après une marche formelle parfaite au son de l'hymne de l'armée de l'air, tous ensemble nous avons crié "Je le jure!". En fait, nous étions tous assez émotionnés.
A ceux temps on marchait déjà parfaitement parce que dans les écoles secondaires de notre temps (1950), il y avait encore quelques professeurs de gymnastique autrefois fascistes.
En fait, quelque fois on enseignait la gymnastique typique des manifestations d'avant-guerre et surtout à marcher correctement et à obéir aux ordres relatifs.

Cependant, l'auteur ignore clairement que des «singeries» similaires se sont répandues et sont appréciées à l'étranger, par exemple aux États-Unis.
Si je ne me trompe pas, aux États-Unis, ils ont donc la ntendance à être "fascistes", car les commémorations en costume, défilés, exercices pseudo-militaires sont fréquents, sans parler de la "garde nationale" composée de citoyens organisés et bien armés, et de ses exercices.
Et les systèmes électoraux et le gouvernement des États-Unis ont une forme assez similaire à ceux de l'ancienne Rome impériale, au tems d'Auguste.
Ils ont un président-empereur et un sénat élu et ils se comportent comme Anciens Romains, même s'ils ne sont pas à la hauteur de la tâche. Pensons-y.
En Angleterre, existent toutes sortes d'associations avec symboles relatifs. Ici aussi, nous avons les Scouts, une institution qui vient précisément d'Angleterre, avec ses symboles et rituels, ses hiérarchies et ses slogans. Bref, sont les «singeries» de régime.

Bien sûr, si à l'étranger, dans les écoles, tous les matins ils lèvent le drapeau et chantent leur hymne, c'est une chose très positive, alors que transporté chez nous, ça cela serait qualifié de «non-sens».
Le régime fasciste a tenté, vraiment un peu maladroitement et sans grand succès, de donner naissance à des Italiens, dont à l'étranger ils se moquaient depuis des siècles, parce que "nous ne sommes pas un peuple, parce que nous sommes divisés", sont ces mots inhabituels de notre hymne. national, que ne sont pas chantés.
On a essayé alors de créer un sentiment national basé sur la mémoire historique de la grandeur de la Rome impériale qui a créé l'Italie et toute l'Europe.
C'était peut-être une exagération, mais l'idée économique fasciste basée sur le corporatisme s'est répandue dans le monde entier.

Malheureusement, notre nation a tout perdu avec la mauvaise et malheureuse décision de Benito Mussolini, car les Allemands commencent toujours les guerres avec arrogance mais les perdent toujours régulièrement.
C'était la conséquence de l'alliance perverse avec «l'ennemi de tous les temps» - disait mon grand-père.

Un autre défaut conventionnel et universellement répandu parmi le peuple italien est le "parti pris partisan", tel que celui que l'auteur manifeste en soulignant et parfois même en mentant, la férocité et la trahison des fascistes, des Allemands et des cosaques -ceux alliés aux Allemands pour échapper à Le nettoyage ethnique de Staline- alors que les partisans à son avis sont tous des êtres humains et nobles.
Mais l'auteur lui-même change d'avis sur les partisans communistes et slaves qui voulaient annexer le Frioul et la Vénétie Julienne à la Yougoslavie de Tito, et qui ont donc commis toutes sortes d'abominations, de massacres et d'atrocités.

Malheureusement, la guerre est la guerre et n’est pas du tout quelque chose de propre. Une fois déchaîné, la bête humaine est difficile à récupérer.
Mais les bêtes sont bêtes et il n'y a pas grand-chose à faire si se portent selon leur nature.

 


6





 




Histoire de la brigade partisane "Osoppo" d'après le livre: un partisan de la Osoppo à la frontière orientale

Osoppo est une petite ville italienne de 2837 habitants du Frioul-Vénétie Julienne, qui fait partie de la région historique de Gemonese.

Sottotenente Renato DEl DinAujourd'hui la commune s'étend sur une superficie d'environ 22 km² sur la rive gauche de la fleuve Tagliamento.
La zone environnante est généralement plate, mais il y a aussi quelques collines.
Dans cette histoire, l'auteur, Primo Cresta - après diverses informations préliminaires et chroniques d'événements survenus après l'événement désastreux du 8 septembre 1943 - parle à la première personne de lui-même et de la division ou de la brigade partisane Osoppo. Voici deux photos importantes:


Le commandement des divisions partisanes Garibaldi Natisone avec deux
officiers de la mission militaire soviétique et officiers du IX corpus
du dictateur communiste Tito dans la région de Tarnova - hiver 1944-45

La photo du haut montre des militaires étrangers clairement identifiables. Ce sont des Slaves, le type le plus haut est le premier à gauche, et les officiers soviétiques sont identifiables par leurs vêtements.
Cette affreuse présence d'assassins impitoyables indique clairement l'alliance préférentielle des communistes italiens avec des étrangers qui voulaient annexer le Frioul-Vénétie Julienne à la future Yougoslavie.
Ci-dessous, une autre photographie des premiers partisans royalistes italiens de la brigade Osoppo régulièrement en uniforme militaire.

Partigiani della Osoppo
  Les premiers partisans de la brigade Osoppo dans les montagnes du Frioul

Les partisans d'Osoppo doivent faire face à un double ennemi:


(º) Frioul(Friuli) C'est une région du nord-est de l'Italie qui tire son nom de la contraction des mots "Forum Julii" - c'est-à-dire place de Julio - parce que le général romain Jules César campait ici pendant la campagne de conquête de la Gaule au 1er siècle avant JC et a fondé Forum Julii Civitas, la ville actuelle appelée Cividale.
Comme on le sait, des événements similaires se sont produits dans toute l'Europe, où la plupart des villes et villages ont été établies par les anciens Romains. Mieux connu: Eburacum (York), Londinium (Londres), Colonia Agrippina (Köln), Bonna (Bonn), Lugdunum (Lyon), Lutetia Parisiorum (Paris), etc., etc., etc.


7





 




Le massacre de Porzus

Le 6 février du 1945, un groupe de Garibaldini se réunit à Spessa di Cividale, une partie se rend à Udine pour ouvrir les prisons et l'autre à Poiana, un village entre les villes de Racchiuso et Faedis. Ce qui suit est extrait dans son intégralité du livre de la page 118:
«Vers 10 heures du matin, ce jour fatidique, l'alarme a été donnée à Porzus, où j'étais.
Habituellement, les cosaques arrivaient à ce moment-là, mais d'une manière complètement différente. Les citoyens qui m'ont spontanément fourni des informations utiles m'ont fait savoir qu'ils étaient partisans, quoique un peu étranges dans leur tenue vestimentaire.
En fait, peu de temps après que leur longue ligne etait passée à une courte distance de la ville, moi sorti de la ville avec un télescope, sur une falaise découverte, les distinguais clairement en passant devant moi.
Ils étaient habillés de différentes manières, certains portaient des foulards rouges, d'autres en étaient privés et apparemment beaucoup ne portaient pas d'armes.
Ils ont fait le tour du petit cimetière et ont continué vers les cabanes sans même reprendre leur souffle, et cela me semblait un peu étrange.
Celui qui les précédait tous s'est arrêté un instant pour regarder ses gens et moi avec un télescope autour du cou. J'ai saluè et hoché la tête en guise de salutation, mais il ne m'a pas répondu et est parti avec ses hommes en file indienne.
Il lui aurait certainement été facile de m'emmener et de commencer sa tâche avec moi. Tout ce qu'il avait à faire était de me faire un signe de tête et j'aurais couru, mais évidemment cela ne faisait pas partie de son plan car il aurait pu découvrir ses intentions et faire sonner l'alarme, permettant aux jeunes du pays, bien informés sur les lieux, et entraîné à des marches rapides pour arriver à temps au commandement de 'Bolla' (le commandant de l'Osoppo) pour avertir.

Pour moi, malheureusement, le défilé de partisans n'a pas suscité de suspicion alors que pendant longtemps je n'en avais pas vu beaucoup tous ensemble. Je ne me suis pas inquiété, aussi parce que certains d'entre eux avaient été reconnus par les bûcherons sur le chemin comme des partisans de la Garibaldi restant dans la région avant le raid allemand de fin septembre 1944.
La nuit suivante, j'ai été réveillé par les pas des gens qui traversaient les rues caillouteuses et cahoteuses de Porzus, mais cela arrivait souvent parce que les partisans faisaient des actions et des mouvements la nuit et heureusement je suis resté calme dans les cosses de maïs, qui étaient alors mon lit. .

Cependant, à l'aube, j'ai été informé que des inconnus avaient fait sortir un paysan du lit pour lui demander s'il y avait des partisans dans le village. Il était un certain "Dibeta" vieux et mutilé d'une jambe, sans voir dans le noir qui les interlocuteurs étaient.
Craignant qu'ils etaient fascistes, il a répondu par la négative. La chance a continué à m'aider.
Mais peu de temps après, à l'aube, la nouvelle presque incroyable de la tragédie est arrivée: dans les huttes de Bolla, Enea (Gastone Valente) et une femme, une Elsa Turchetti, avaient été assassinées, et toutes les autres avaient disparu ... »

NDR: y compris le prêtre qui célébrait la messe tous les matins

Les martyrs de Porzus ont ensuite été accusés par les communistes d'être des «fascistes». Il me semble évident que ces gens ne peuvent s'empêcher de mentir. Ils ne l'ont pas fait hier et leurs exégètes et héritiers ne le font pas aujourd'hui.

Le commandant «Bolla» s'appelait Francesco De Gregori, né à Rome le 16/10/1910. Il a reçu la médaille d'or en mémoire.
Permettez-moi de dire que la motivation de cette médaille suscite un peu de dégoût pour son hypocrisie: en fait, il est écrit qu'il "etait victime de la situation créée par le fascisme et alimentée par l'oppresseur allemand"

C'était une abstraction lâche qui signifie que le meurtre de tant de personnes était une fatalité, sans parler des assassins Garibaldins, les voyous assassins communistes qui voulaient annexer le Frioul à la Yougoslavie de Tito!

Après la fin de la guerre.
Ce qui a été dit ici et des événements similaires montrent la position dominante des communistes en Italie après 1945, tels que les massacres perfides et la disparition de milliers et de milliers de civils italiens innocents accusés d'être «fascistes»; aujourd'hui, nous dirions «desaparecidos».
Au lieu de cela, c'étaient toutes des vendettas personnelles et des meurtres de haine de classe perpétrés par des personnes impies, peu ou rien à voir avec la politique.

En outre, après la guerre, il y a eu aussi tortures, lynchages et assassinats de nombreux soldats fascistes détenus dans certaines prisons du nord de l'Italie.
Tout cela et de nombreux autres crimes et atrocités faisaient partie d'un grand nombre de crimes odieux commis pour éliminer de manière préventive les opposants possibles à ceux qui voulaient amener notre pays dans le champ du Pacte de Varsovie pour devenir l'une des républiques socialistes soviétiques.

De nombreux jeunes fascistes italiens ont réussi à s'échapper et à s'enrôler dans la légions étrangère française ou espagnole.
Les hommes enrôlés dans la Légion française pour la plupart ont eté tués
a la bataille de Dien Bien Phu contre les Vietnamiens du général Ho Chi Min.
Ils n'ont pû donc pas échapper aux communistes de toute façon!


8





 




Colonel Prospero Del Din

Au retour du camp de prisonniers de guerre anglais sur l'Himalaya, mon grand-père appartenait à l'organisation alors appelée "Fratelli d'Italia" (Frères d'Italie) qui s'est immédiatement opposée aux objectifs des Slaves du Frioul et de Gorizia, en organisant notamment la résistance contre ceux qui voulaient annexer le Frioul à cette masse misérable de peuples «slaves du sud», qui souffriraient tant de misère sous l'oppression du régime communiste.


En foto: Colonel Prospero Del Din avec sa fille Paola, également décorée M.O.V.M.

Le colonel Del Din, père de 2 médailles d'or pour valeur militaire, est mentionné à la page 138 du livre. Ici je vous informe textuellement:

LA DIVISION OSOPPO EN GORIZIE
Engagé comme je tentais de présenter les idéaux de résistance qui ont inspiré la création de la brigade Osoppo aux habitants de Gorizia, J'ai organisée à l'époque ... (omis) ... une revue chorale et folklorique ... (omis) ...
Le spectacle a eu lieu au Théâtre Verdi le 3 février 1946 devant un public incroyablement bondé et en présence du président de zone (Préfet) avv. Hugues, le président municipal (maire) avv. Giovanni Stecchina et le major Harari de l'A.I.S. (US Allies Information Service)
Le même "Verdi" a participé à l'acte avec d'autres politiciens et partisans de Udine, ainsi que le colonel de l'infanterie alpine Prospero Del Din, père d'une médaille d'or de la Résistance, qui, alors qu'il était en uniforme, a causé un explosion d'enthousiasme.
C'était notre réponse à l'APG 'Semaine du partisan communiste'»


 


9





 




La soi-disant «libération».

Si nous devions remercier quelqu'un d'avoir été «libéré», ce ne serait certainement pas les formations du parti communiste.
En fait, les formations communistes qui prévalaient dans toute l'Italie, n'avaient pas pour objectif de combattre les Allemands et les fascistes, mais de provoquer des représailles contre les civils avec leurs embuscades et leurs attaques terroristes.
Ils voulaient susciter la haine de la population et parmi la population, car leur but ultime était de mettre l'Italie sur l'orbite de Moscou.
En fait, la contribution que les formations partisanes ont apportée à la victoire alliée n'a pas été entièrement décisive.
A mon avis - d'après ce que j'ai vu dans de nombreux documentaires et lu ici et là - n'était même pas significative, pendant que l'était vraiment celle que les partisans slaves et grecs ont donné aux Britanniques.
Les non-communistes, qui en Italie se sont rendus aux buissons et aux montagnes pour échapper aux Allemands ou aux conscriptions de la République fasciste de Salò, étaient refujés dans ce qu'ils ont trouvé, comme vous pouvez le deviner en lisant le livre de Cresta.
Nos "libérateurs" se sont ensuite déplacés le long de la péninsule, ravageant des villes entières, bombardant même des cimetières, des sites d'art, des églises et des lieux de culte, tuant des centaines de milliers de civils et détruisant et rasant tout sur leur passage, même après le 8 septembre 1943 et le armistice.
Si tuviéramos que agradecer a alguien por haber sido "liberados", estas ciertamente no serían las formaciones partidistas.
De hecho, las formaciones comunistas que prevalecían en toda Italia, no tenían el objetivo de combatir a los alemanes y fascistas, sino a provocar represalias contra civiles con sus emboscadas y ataques terroristas.
Querían despertar el odio de la población y entre la población, porque su objetivo final era llevar a Italia a la órbita de Moscú.

Les alliés britanniques ont également commis des atrocités dignes d'un procés contre l'humanité, semant des bonbons explosifs, des stylos et des poupées dans la majeure partie de l'Italie, causant la mort ou la mutilation de milliers d'enfants.
Ma femme, née à Bologne en 1941, m'a dit que sa mère lui avait toujours conseillé de ne rien ramasser par terre, pas de bonbons, stylos ou poupées, et de lui faire savoir quand elle en voyait une.

Un autre crime de guerre odieux a été commis par vengeance mesquine par nos cousins ​​français, qui ont déchaîné les gangs de Marocains quittant la liberté pour piller, violer et tuer des civils. Nous avons un film intitulé ·la ciociara" avec Sofia Loren, qui nous rappelle cette abomination. Un de mes amis, de Gênes, qui s'etaitenrôlé à l'âge de 17 ans et a combattu dans la Wermacht sur le front de Cassino m'a raconté des épisodes terribles.
Immédiatement a la fin de la guerre il rejoignit la légion étrangère française, y restant beaucoup années, et combattit en Algérie contre les Arabes. Lorsque la France s'est retirée de l'Algerie et a réduit le nombre de légionnaires, il a pu rentrer en Italie, aussi pour l'amnistie qui avait etê accordée aux combattants fascistes.
Egalement un de mes grands-oncle, le frère de ma grand-mère Inès, officier pilote de l'armée de l'air fasciste, est rentré quelques années avant mon ami, venant du Panama

Le pire aspect des "libérateurs" de cette époque était l'idiotie politique typique des DEMs américains, qui a coûté plus tard des dizaines, voire des centaines de milliers de victimes en Corée et au Vietnam, sans parler de la douleur semée parmi la population civile de ces derniers. pays.

Il carro armato Patton M46
EL PODEROSO PATTON M46

Son énorme stupidité a été de donner aux Russes les moyens financiers de restaurer leurs forces épuisées et, enfin, encore plus d'idiotie, en s'arrêtant pour attendre que l'Armée rouge s'emparait de la moitié de l'Allemagne.
Il est vrai que l'erreur de ne pas aider les nations vaincues ne s'est pas répétée et qu'un grand plan d'aide a été promu: le plan Marshall.
Alors qu'en URSS il y avait littéralement famine, en fait, la reprise économique commençait dans tout l'Occident.

Dans le livre, on dit que les divisions blindées des troupes allemandes et cosaques fuyant vers le passe du Brenner étaient poussées par l'arrivée massive de tanks américains Patton.
Oubliez les films ridicules, comme celui sur l'arrestation de Mussolini dans un camion allemand, au milieu de montagnes pleines de guérilleros qui grincaient ces dents.


Un tanque alemán 'Tigre' en fuga. El Mercedes de los Panzers

Cosacco del Don
Cosaco en el servicio de la wermacht
Sûrement pour les Allemands et les Cosaques, lutter contre la colère et l'aiguillon des partisans italiens était presque un passe-temps, un peu dangereux, mais rien de plus.
Dernièrement, j'ai en télévision un documentaire qui racontait la coexistence pas très tragique des cosaques et des Carnielli (peuples indigènes du lieu).
Mon grand-père Prospero, une fois, alors que nous passions par Sappada, (un village là-bas dans les montagnes à 1400m d'altitude) m'a montré une maison incendiée, il m'a dit qu'un "imbécile" avait tiré un coup de fusil à partir de là sur la colonne des cosaques qui passait.
Le pays entier a été incendié, laissant la place aux «antifascistes» pour se livrer à des histoires exagérées de plus de propagande.
Pour moi, ce tireur n'était pas simplement un pur "crétin", mais le délinquant communiste habituel, de toute façon un double idiot.

 

Dernière considération:

La panique des cosaques après l'annonce que les Britanniques les rendraient aux Russes, contrairement aux promesses faites pour provoquer leur rendition, a été indescriptible.
Pour ne pas retourner dans l'enfer soviétique, des milliers de cosaques, hommes, femmes, enfants, ont préféré se suicider en masse, notamment en se noyant dans la rivière Drava, pour ne pas tomber entre les mains des Russes.
Cependant, beaucoup ont réussi à fuir vers divers pays d'Europe occidentale et aux États-Unis, au Canada et en Australie, ainsi qu'en Turquie ou en Amérique du Sud, continuant à nourrir des rêves antisoviétiques de vengeance et de les transmettre à leurs descendants.
En 1992, sous le patronage de Poutine, une reconstitution cosaque a été effectuée, en tant que force militariste et ultra-nationaliste, prête à participer à toute guerre en Russie.

Juste comme une blague:
Je rapporte ici une phrase des soi-disant prophéties de Nostradamus qui dit: «Les chevaux cosaques boiront aux sources de San Pietro».
Je dis aux DEM américains, s'il vous plaît, ne faites pas certaines de vos absurdités habituelles, assurons-nous que la prophétie ne se réalise pas.
Ne dérangez pas les Russes avec de faux prétextes de démocratie ou autres, et permettez aux autres de faire aussi leurs affaires dans le monde

El pánico entre los cosacos tras el anuncio de que los británicos los devolverían a los rusos, en contra de las promesas hechas para inducir su rendición, era indescriptible.
Para no volver al infierno soviético miles de cosacos, hombres, mujeres, niños, prefirieron suicidarse en masa, sobre todo ahogándose en el río Drava, para no caer en manos rusas.
Sin embargo, muchos lograron huir a varios países de Europa occidental y Estados Unidos, Canadá y Australia, así como a Turquía o América del Sur, a menudo continuando albergando sueños de venganza antisoviéticos y transmitiéndolos a sus descendientes.
En 1992, bajo el patrocinio de Putin, se llevó a cabo una reconstitución cosaca, como una fuerza militarista y ultranacionalista, lista para participar en cualquier guerra en Rusia.

Juste pour blaguer:
Je rapporte ici une phrase des soi-disant prophéties de Nostradamus qui dit: "Les chevaux des cosaques boiront aux fontaines de San Pietro."
Je dis aux DEMs américains, s'il vous plaît, ne faites pas quelq'une de vos absurdités habituelles, assurons-nous que la prophétie ne se réalise pas.C'est dificile mais on devrait agir uniquement en légitime défense et -encore puls dificile- de manière intelligente.
Ne dérangez pas les Russes avec de faux prétextes de démocratie ou autres, et laissez aussi que tous les autres aussi faissent leurs affaires dans le monde.


10





 




Bibliographie


 

Lino Bertuzzi Roma Septiembre 05/2019
Traducción de Lino Bertuzzi 27 de abril de 2121 con la ayuda del traductor de Google, para hacerlo rápidamente. Perdóname por la forma pobre y poco elegante del texto. Creo que lo mejor es enemigo de lo bueno.